L’Avoir ! Ode chantée au savon

Crédit photo : Agnès Desfosses

L’AVOIR ! ODE CHANTÉE AU SAVON

Spectacle sonore et visuel

tout public dès 18 mois

Conception et mise en scène : Laurent Dupont

Chanteur : Justin Bonnet

Percussionniste : Maxime Echardour

Vidéaste : Sébastien Sidaner

Régisseur : Bernard Beau

Costumes : Gaëtan Leudière

Création novembre 2014

Production : ACTA, compagnie conventionnée : Conseil départemental du Val d’Oise, Ville de Villiers-le-Bel. ACTA est subventionnée par la DRAC Île-de-France dans le cadre d’une convention de territoire, et par le Conseil Régional d’Île-de-France dans le cadre d’une convention de permanence artistique.

Coproduction : Association Nova Villa – Festival Méli’môme (Reims – 51)


« L’Avoir ! Ode chantée au savon » est un chant visuel en train de se faire, à l’image de ce qu’il évoque : il mousse interminablement, se dissout, forme des bulles… Un moment jubilatoire qui nous conduit et nous éconduit dans l’intimité de nos mémoires. Mille gestes sédimentés, mille mots échangés… miroirs de nos émotions, ont été recueillis pour un dialogue entre deux musiciens, un baryton et un percussionniste : on y lave l’intime, on y tord le quotidien, on se frotte aux relations…

« L’Avoir ! Ode chantée au savon » est un poème sonore pour 6 bassines, 2 mouchoirs, un drap et 13 savons, scandé par des ponctuations d’images. Au fil de l’eau, du son et des projections, les deux artistes évoquent la rencontre ancestrale… mais improbable entre l’eau et le savon, cette sorte-de-pierre…

Extrait de presse

« Dans L’Avoir, deux hommes se font face. On les verra échanger les sons divers d’une sorte de pré-langue autour de six bassines qui servent d’instruments de percussion et qui, en même temps, accueillent des images fluides faisant tout de suite penser à l’eau. Tout doucement devant nous, les deux comédiens vont palper tout autant des sons que des matières aussi diverses que des blocs de savon et des tissus avec, presque toujours en arrière-fond, des bruits ou des images d’eau qui ruisselle en s’écoulant lentement. Ces jeux sonores rythmés par des lumières évoquant l’écoulement de l’eau comme du temps tracent une sorte de poème indéchiffrable formé de sensations diffuses autour de gestes simples et immémoriaux. Une sorte d’incarnation tout aussi furtive que festive… qui réussit pourtant à fasciner les tout petits dès le départ. »

Chronique de Michel Bélair – Festival Méli’môme, 9 avril 2015

Teaser